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Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
+3
Serpent
Sans Souci
Gravillon
7 participants
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Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Vous vous réveillez la tête lourde et les membres courbaturés.
Même pour ceux d'entre-vous qui ne souffrent pas de blessures, les effets du combat de la veille se font encore sentir
Des le lever du soleil, la princesse à fait porter auprès d'elle les blessés en commençant par les plus graves d'entre eux.
Hervé a été le premier à bénéficier de ses étranges soins faits de gestes fluides, de danses inquiétantes qui semblent adressées à l'astre du jour et de mélopées envoûtantes.
Deux solides gaillards maintiennent les curieux à distance, mais ils n'ont que fort peu d'ouvrage : l'étrangeté du spectacle qui vous est offert tout autant qu'un je ne sais quoi d'intimidant arrivent sans peine à vous tenir à distance vos compagnons et vous.
Même pour ceux d'entre-vous qui ne souffrent pas de blessures, les effets du combat de la veille se font encore sentir
Des le lever du soleil, la princesse à fait porter auprès d'elle les blessés en commençant par les plus graves d'entre eux.
Hervé a été le premier à bénéficier de ses étranges soins faits de gestes fluides, de danses inquiétantes qui semblent adressées à l'astre du jour et de mélopées envoûtantes.
Deux solides gaillards maintiennent les curieux à distance, mais ils n'ont que fort peu d'ouvrage : l'étrangeté du spectacle qui vous est offert tout autant qu'un je ne sais quoi d'intimidant arrivent sans peine à vous tenir à distance vos compagnons et vous.
Dernière édition par Gravillon le Lun 29 Jan - 17:15, édité 1 fois
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Je me réveille, sans savoir si cette nuit m'a reposé ou fatigué. Je sens mon corps moins ankylosé qu'hier soir, même si le sable qui m'a servi de matelas a prélevé son dû sur mon dos ; mais les cauchemars qui m'ont harcelé toute la nuit, réminiscence de la veille qui se mêlent à des souvenirs plus anciens, m'ont quitté ce matin en me laissant d'une humeur de chien.
Celle-ci s'adoucit cependant quand j'observe l'étrange manège de la princesse. J'avise Panya qui semble éveillé également (a-t-il seulement dormi ?), et je lui murmure après l'avoir salué d'un geste de la tête :
- Janga, crois-tu que cette princesse sache aussi parler aux yaleef [esprits] ?
Celle-ci s'adoucit cependant quand j'observe l'étrange manège de la princesse. J'avise Panya qui semble éveillé également (a-t-il seulement dormi ?), et je lui murmure après l'avoir salué d'un geste de la tête :
- Janga, crois-tu que cette princesse sache aussi parler aux yaleef [esprits] ?
Dernière édition par Sans Souci le Dim 14 Jan - 15:59, édité 1 fois
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Creusant un peu dans le sable j'ai réussi trouver une position où ma jambe ne me faisait pas trop mal et la nuit ne fit pas trop mauvaise.
Reveillé par le jour j'ai regardé la princesse s'occuper des blessés.
J'ai alors crié a mes compagnons qui pouvaient m'entendre :
Elle ne pourrait pas faire quelque chose pour ma jambe ?
Reveillé par le jour j'ai regardé la princesse s'occuper des blessés.
J'ai alors crié a mes compagnons qui pouvaient m'entendre :
Elle ne pourrait pas faire quelque chose pour ma jambe ?
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Si le distrait fou n'a pas encore frappé c'est que l'analyste fou cherche des munitions pour le pinailleur fou...
Fiche de perso
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Les cris de Serpent attire, l’attention de la princesse et de ses hommes. Sur un signe de cette dernière deux solides gaillard empoignent avec précautions pour l’apporter au pied de la jeune femme.
Cette dernière se met alors à l’œuvre et toute en manipulant la jambe de votre ami, elle entonne un chant ; étrange mélopée aux sonorités fluides, accompagnée d’une gestuelle étrange dont le sens vous échappe.
Au bout de quelques minutes, l’attelle est reposée sur la jambe de votre infortuné gabier lequel s’est endormi profondément.
Serpent, tu peux jeter un œil ici.
Cette dernière se met alors à l’œuvre et toute en manipulant la jambe de votre ami, elle entonne un chant ; étrange mélopée aux sonorités fluides, accompagnée d’une gestuelle étrange dont le sens vous échappe.
Au bout de quelques minutes, l’attelle est reposée sur la jambe de votre infortuné gabier lequel s’est endormi profondément.
Serpent, tu peux jeter un œil ici.
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Allongé sur le sable, profondément endormi, je me met à ronfler puissamment, totalement inconscient de tout ce qui m’entoure…
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Si le distrait fou n'a pas encore frappé c'est que l'analyste fou cherche des munitions pour le pinailleur fou...
Fiche de perso
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
J'ai observé le rituel d'un œil attentif.
-Oui, Sans Souci, je le pense...
-Oui, Sans Souci, je le pense...
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Après quelques chansons en l'honneur des compagnons disparus, des aventures a venir et des beautés exotiques je me suis offert une bonne nuit de repos.
La matinée je la passe a rassembler les mousquets, les réserves de poudre et les munitions que je peux trouver dans le camp.
La matinée je la passe a rassembler les mousquets, les réserves de poudre et les munitions que je peux trouver dans le camp.
Bojac- Messages : 147
Date d'inscription : 02/01/2023
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Ayant veillé plus tard que la plupart de mes compagnons, je m'éveille cependant à l'aurore. Les yeux encore ensommeillés, j'assiste à la cérémonie, particulièrement attentif lorsque vient le tour d'Hervé.
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Lui aussi soumis au traitement de la belle Calusa, Peau Bleue s’est également endormi et ses ronflements graves viennent faire un contrepoint à ceux de Serpent.
Après les cas les plus critiques, viennent le tour des blessés plus légers. Baptiste lui-même qui souffre toujours de sa blessure fait l’objet de cette étrange consultation.
Mais si la lassitude le prend également cette dernière n’est que très temporaire.
Alors que les blessés profitent des soins de la princesse, les valides, sous la direction conjointe de Senjak et Van Aarde écument le camp des espagnols à la recherche à la recherche d’arme et de nourriture, mais surtout à la recherche de ces fameux trésors pour lesquels vous avez appareillés il n’y a encore que quelques jours … quelques jours qui vous semblent si loin…
Il ne faut pas longtemps pour que vous soyez attirés par les cris de joies de Hans et les étranges grincements qui font office de rire au vieux Felipe. Ces derniers ayant filé vent en poupe vers l’amas de caisses du centre du camp, ont dégagé un coffre cerclé de fer lequel n’a pas résisté longtemps à leur assaut. Une fois ouvert ce dernier livre aux rayons du soleil son contenu d’or, de vaisselles d’argent, et de bijoux !
Les espagnols semble-t-il vous ont mâché le travail et ont réunis dans ce seul coffre tout qu’ils ont pu tirer de l’épave : On est certes bien loin des tonnes d’or que promettait la flotta, mais ramené à votre nombre dérisoire, ce trésor vous apparais comme la promesses fabuleuse d’un avenir radieux !
Van Aarde, qui semble un instant inquiet et tendu se laisse rapidement aller lui aussi a une allégresse qui ne lui est pas coutumière : il y manifestement bien assez d’or dans ce petit coffre pour satisfaire à l’avidité de votre petit nombre …
Passé les premiers transport, vous vous retrouvez tous les cinq (Serpent dort encore) en compagnie de van Aarde, Hans Massacre et du vieux Felipe , debout avec à la main, qui une poigne de pièce de huit, qui timbale en argent ou un collier de perles à la main, silencieux comme hypnotisé.
D’une voix rauque, Van Aarde vient bientôt vous ramener sur terre et énonce l’évidence :
- On ne peut pas voyager avec tout ça …
De fait, le poids du coffre rend ce dernier difficilement transportable et son contenu même repartis reste fort conséquent ...
Après les cas les plus critiques, viennent le tour des blessés plus légers. Baptiste lui-même qui souffre toujours de sa blessure fait l’objet de cette étrange consultation.
Mais si la lassitude le prend également cette dernière n’est que très temporaire.
Alors que les blessés profitent des soins de la princesse, les valides, sous la direction conjointe de Senjak et Van Aarde écument le camp des espagnols à la recherche à la recherche d’arme et de nourriture, mais surtout à la recherche de ces fameux trésors pour lesquels vous avez appareillés il n’y a encore que quelques jours … quelques jours qui vous semblent si loin…
Il ne faut pas longtemps pour que vous soyez attirés par les cris de joies de Hans et les étranges grincements qui font office de rire au vieux Felipe. Ces derniers ayant filé vent en poupe vers l’amas de caisses du centre du camp, ont dégagé un coffre cerclé de fer lequel n’a pas résisté longtemps à leur assaut. Une fois ouvert ce dernier livre aux rayons du soleil son contenu d’or, de vaisselles d’argent, et de bijoux !
Les espagnols semble-t-il vous ont mâché le travail et ont réunis dans ce seul coffre tout qu’ils ont pu tirer de l’épave : On est certes bien loin des tonnes d’or que promettait la flotta, mais ramené à votre nombre dérisoire, ce trésor vous apparais comme la promesses fabuleuse d’un avenir radieux !
Van Aarde, qui semble un instant inquiet et tendu se laisse rapidement aller lui aussi a une allégresse qui ne lui est pas coutumière : il y manifestement bien assez d’or dans ce petit coffre pour satisfaire à l’avidité de votre petit nombre …
Passé les premiers transport, vous vous retrouvez tous les cinq (Serpent dort encore) en compagnie de van Aarde, Hans Massacre et du vieux Felipe , debout avec à la main, qui une poigne de pièce de huit, qui timbale en argent ou un collier de perles à la main, silencieux comme hypnotisé.
D’une voix rauque, Van Aarde vient bientôt vous ramener sur terre et énonce l’évidence :
- On ne peut pas voyager avec tout ça …
De fait, le poids du coffre rend ce dernier difficilement transportable et son contenu même repartis reste fort conséquent ...
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Soupesant dans ma main droite une chevalière en or, j'affiche une mine satisfaite et bouscule amicalement l'épaule de Baptiste.
-Ceci messieurs est la preuve, s'il en fallait une et je pense qu'elle est bienvenue, que tout ce que nous avons fait et traversé comme épreuve jusqu'à cet instant n'était pas vain. Ce vieux Poséidon en a gardé probablement une bonne part mais il en reste assez pour oublié toutes vos misères passés et à venir.
Je ramasse un gobelet en or finement ciselé et le lance à Bojac.
-Mais Van Aarde a raison. On est pas des mulets. Et va pas se pointer à Saint Augustine avec ce coffre sur le dos. Le plan initial est toujours d'actualité, il nous faut un bateau et un équipage. Je propose que chacun prenne une pièce ou un bijou en souvenir et que l'on enterre le coffre sous la garde des indiens calusas. Je pense qu'on a pas vraiment le choix que de leur faire confiance. Si c'était pas le cas je pense qu'on ne serait déjà plus là pour en causer. Une fois le bateau et l'équipage trouvé, on partagera le butin. Ceux qui veulent pourront partir gouter à une retraite bien méritée. Pour les autres comme moi qui ne se contenteront pas d'un seul coffre, on se mettra en quête du reste.
Je referme mes doigts sur la chevalière.
-Des questions ou des suggestions ?
-Ceci messieurs est la preuve, s'il en fallait une et je pense qu'elle est bienvenue, que tout ce que nous avons fait et traversé comme épreuve jusqu'à cet instant n'était pas vain. Ce vieux Poséidon en a gardé probablement une bonne part mais il en reste assez pour oublié toutes vos misères passés et à venir.
Je ramasse un gobelet en or finement ciselé et le lance à Bojac.
-Mais Van Aarde a raison. On est pas des mulets. Et va pas se pointer à Saint Augustine avec ce coffre sur le dos. Le plan initial est toujours d'actualité, il nous faut un bateau et un équipage. Je propose que chacun prenne une pièce ou un bijou en souvenir et que l'on enterre le coffre sous la garde des indiens calusas. Je pense qu'on a pas vraiment le choix que de leur faire confiance. Si c'était pas le cas je pense qu'on ne serait déjà plus là pour en causer. Une fois le bateau et l'équipage trouvé, on partagera le butin. Ceux qui veulent pourront partir gouter à une retraite bien méritée. Pour les autres comme moi qui ne se contenteront pas d'un seul coffre, on se mettra en quête du reste.
Je referme mes doigts sur la chevalière.
-Des questions ou des suggestions ?
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
La "bousculade" du capitaine me fait le toiser l'œil rond comme si cette habitude me laissait un brin perplexe, d'autant que je n'ai pas bougé d'un iota.
Le discours de Senjak m'arrache un hochement de tête signifiant que j'approuve son idée, mais je désigne alors le coffre du menton, les yeux brillants:
-La répartition habituelle prévaut-elle ou, vu les circonstances, chacun bénéficiera d'une part égale?
Le discours de Senjak m'arrache un hochement de tête signifiant que j'approuve son idée, mais je désigne alors le coffre du menton, les yeux brillants:
-La répartition habituelle prévaut-elle ou, vu les circonstances, chacun bénéficiera d'une part égale?
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
À mon tour d’approuver d’un hochement de tête.
-Parts égales pour ce coffre, répartition habituelle pour tout ce qu’on trouvera ensuite.
J’interroge Van Aarde du regard pour m’assurer de son point de vue.
-Parts égales pour ce coffre, répartition habituelle pour tout ce qu’on trouvera ensuite.
J’interroge Van Aarde du regard pour m’assurer de son point de vue.
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Van Aarde hoche la tête, encore un sourire aux lèvres en ayant du mal a détacher son regard du contenu rutilant.
- Il en faut une partie pour le commun, avant de partager le reste en part égale : on aura besoin d'or à Saint Augustin pour acheter des armes, des vêtements et peut être un navire ... il ajoute l'air matois : on aura sans doutes besoin de graisser des pattes ...
Felippé enchaine de sa voix chevrotante :
- Emportons les pièces de huit qu'on peux transporter, et laissons le reste dans le coffre ... on pourra pas trainer la vaisselle et le pierres facilement ... pi si les spaniards en apercoivent la couleur, y'l auront vites fait de comprendre ... faut laisser le coffre à l'abri et revenir plus tard ..
Il ajoute en pointant un doigts noueux et crochus en directions des épaves meurtries :
- De toute façon faudra revenir par ici avec des navires et des gars solides : la pêche peut encore être bonne ...
- Il en faut une partie pour le commun, avant de partager le reste en part égale : on aura besoin d'or à Saint Augustin pour acheter des armes, des vêtements et peut être un navire ... il ajoute l'air matois : on aura sans doutes besoin de graisser des pattes ...
Felippé enchaine de sa voix chevrotante :
- Emportons les pièces de huit qu'on peux transporter, et laissons le reste dans le coffre ... on pourra pas trainer la vaisselle et le pierres facilement ... pi si les spaniards en apercoivent la couleur, y'l auront vites fait de comprendre ... faut laisser le coffre à l'abri et revenir plus tard ..
Il ajoute en pointant un doigts noueux et crochus en directions des épaves meurtries :
- De toute façon faudra revenir par ici avec des navires et des gars solides : la pêche peut encore être bonne ...
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Et pendant ce temps Serpent continue a ronfler vigoureusement. Les arbustes voisins semblent en trembler....
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Si le distrait fou n'a pas encore frappé c'est que l'analyste fou cherche des munitions pour le pinailleur fou...
Fiche de perso
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Je hoche la tête aux suggestions de van Aarde et Felippe, avant de reporter mon attention sur la plage et les environs...
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Tout content de l'attention de Senjak a mon égard je me débrouille pour saisir la coupe en or au vol tout en acquiescant à ses propos, mais quand Van Aarde suggère de ne prendre que des pièces je vais reposer mon précieux cadeau dans le coffre et j'y farfouille à la recherche d'un objet de plus petite taille.
Bojac- Messages : 147
Date d'inscription : 02/01/2023
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Le vieux maitre-canonnier, aidé de Van Aarde et de Hans - qui une fois nettoyé du sang dont il était recouvert - a retrouvé une allure bonhomme - partent en quête de contenant qui puisse vous aider à transporter une partie des pièces. ils reviennent avec 3 bourses de cuir prélevées sur les cadavres des espagnols, et un ballot de toile à voile.
Hans s’assoir et comment à confectionner pour chacun d'entre vous des petits sac de toile - sorte de pochette de fortune - qui devraient vois permettre d'emporter une partie de votre trésor.
Sans-soucis a disparu, sans doute a la recherche de Panya.
Les indiens quand a eux, indifférents à votre fascination pour le coffre encore ouvert, s'activent et semble se préparer au départ.
Hans s’assoir et comment à confectionner pour chacun d'entre vous des petits sac de toile - sorte de pochette de fortune - qui devraient vois permettre d'emporter une partie de votre trésor.
Sans-soucis a disparu, sans doute a la recherche de Panya.
Les indiens quand a eux, indifférents à votre fascination pour le coffre encore ouvert, s'activent et semble se préparer au départ.
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
J'observe avec fascination et intérêt la dextérité du canonnier, mais reste proche du coffre afin de prévenir toute entourloupe de qui que ce soit.
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
J'émerge des bosquets, où je suis allé chercher Panya sans le trouver.
Voyant Felippé découper de la toile de bateau pour en faire des bourses, je m'approche pour l'observe, puis lui proposer mon aide. Je m'attaque à confectionner un sac plus grand, qui pourrait nous permettre d'emporter quelques provisions pour le voyage.
Voyant Felippé découper de la toile de bateau pour en faire des bourses, je m'approche pour l'observe, puis lui proposer mon aide. Je m'attaque à confectionner un sac plus grand, qui pourrait nous permettre d'emporter quelques provisions pour le voyage.
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Je finis émerger de la mangrove, les bras chargés de fruits et de manioc. Je me rapproche du groupe et constate la découverte de l'or.
-Tain ben voilà t'y pas qu'on est riches d'or?!
Je tends des fruits à la cantonade.
-T'nez za'llez pas manger des pièces de huit...
-Tain ben voilà t'y pas qu'on est riches d'or?!
Je tends des fruits à la cantonade.
-T'nez za'llez pas manger des pièces de huit...
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Je lève brièvement les yeux au ciel un demi-sourire amusé aux lèvres, lorsque le vieux corniaud nous refile de la bouffe... Encore...
Cependant, lorsqu'il me tend l'un de ses biens, je m'approche de lui et murmure:
-Il faudra qu'on parle, l'Ancien.
Je désigne la princesse indigène du menton:
-Selon elle, toi seul peut m'aider, même si tu fricoterais plus avec les puissances de la nuit...
Cependant, lorsqu'il me tend l'un de ses biens, je m'approche de lui et murmure:
-Il faudra qu'on parle, l'Ancien.
Je désigne la princesse indigène du menton:
-Selon elle, toi seul peut m'aider, même si tu fricoterais plus avec les puissances de la nuit...
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
serpent ici
Le vieux maitre canonnier accueille la remarque de Panya avec une nouveau cliquètement amusé alors que Van Aarde détache son regard du contenu du coffre pour s'attarder sur la nouvelle tenue du vieux sorcier.
Ce dernier a effectivement finalement décidé de se vêtir et il a choisi sa nouvelle garde robe en prélevant des hardes hétéroclites sur les hardes des espagnols.
Toujours pieds nus il a enfilé un haut de chausse trop grand pour lui et a jeté une vareuse d'officiers d'int il a arraché les manches sur son torse nu. Le vêtement bien trop chaud pour ces latitudes ne semble pas l'incommoder outre mesure.
Pour faire bonne mesure Panya a ajouté a son accoutrement une cravate de soie qu'il a noué autour de son cou de volaille comme un vulgaire foulard. Un tricorne défoncé et cerné de vestiges de plumes complète finalement assez bien cet étrange costume que Panya porte crânement avec la dignité d'un lord anglais de l'amirauté.
De son coté le vieux Felipe a tôt fait de terminer son ouvrage et vous emplissez joyeusement le sac qu'il vous a confectionné de pièce de huit en essayant de composer entre avidité et sens pratique pour rester dans le "transportable" sinon dans le "dissimulable"
Vous voilà plus riches que vous ne l'avez jamais été !
A l'issue de la répartition sévèrement contrôlée par Batiste Van Aarde et Senjak, le lourd coffre cerclé reste encore a moitié rempli d'argenterie, de vaisselle au reflet de soleil ...
C'est au cours de cette répartition que Serpent fait son retour parmi vous. Il vous a rejoint sans bruit en ne s’aidant pour marcher que d'une simple canne confectionnée à l'aide d'un de ses béquilles. Luisant de sueur, il parait néanmoins plus marqué par l'effort que part la douleur et il a perdu cette vilaine teinte grisâtre.
Van Aarde désigne alors le coffre et demande à la cantonnade :
- Qu'est ce qu'on fait de ce qui reste ?
Le vieux maitre canonnier accueille la remarque de Panya avec une nouveau cliquètement amusé alors que Van Aarde détache son regard du contenu du coffre pour s'attarder sur la nouvelle tenue du vieux sorcier.
Ce dernier a effectivement finalement décidé de se vêtir et il a choisi sa nouvelle garde robe en prélevant des hardes hétéroclites sur les hardes des espagnols.
Toujours pieds nus il a enfilé un haut de chausse trop grand pour lui et a jeté une vareuse d'officiers d'int il a arraché les manches sur son torse nu. Le vêtement bien trop chaud pour ces latitudes ne semble pas l'incommoder outre mesure.
Pour faire bonne mesure Panya a ajouté a son accoutrement une cravate de soie qu'il a noué autour de son cou de volaille comme un vulgaire foulard. Un tricorne défoncé et cerné de vestiges de plumes complète finalement assez bien cet étrange costume que Panya porte crânement avec la dignité d'un lord anglais de l'amirauté.
De son coté le vieux Felipe a tôt fait de terminer son ouvrage et vous emplissez joyeusement le sac qu'il vous a confectionné de pièce de huit en essayant de composer entre avidité et sens pratique pour rester dans le "transportable" sinon dans le "dissimulable"
Vous voilà plus riches que vous ne l'avez jamais été !
A l'issue de la répartition sévèrement contrôlée par Batiste Van Aarde et Senjak, le lourd coffre cerclé reste encore a moitié rempli d'argenterie, de vaisselle au reflet de soleil ...
C'est au cours de cette répartition que Serpent fait son retour parmi vous. Il vous a rejoint sans bruit en ne s’aidant pour marcher que d'une simple canne confectionnée à l'aide d'un de ses béquilles. Luisant de sueur, il parait néanmoins plus marqué par l'effort que part la douleur et il a perdu cette vilaine teinte grisâtre.
Van Aarde désigne alors le coffre et demande à la cantonnade :
- Qu'est ce qu'on fait de ce qui reste ?
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Je hausse les épaules.
-Les serpents dorment la nuit, gamin. Et est-ce qu'le soleil fait pas pourrir les carcasses plus vite, hmm? Bah!
Je secoue la tête
Le problème c'est qu'dans les ombres on peut imaginer l'pire! C'est vot' problème à vous, les foudingues de la Croix. Le noir, le blanc... C'est pas si simple!
Je tends mon sac plein de pièces à Baptiste.
-Tu veux pas m'aider avec c'te ferraille? Trop encombrant... fais-je rajustant ma cravate et ma vareuse.
-Les serpents dorment la nuit, gamin. Et est-ce qu'le soleil fait pas pourrir les carcasses plus vite, hmm? Bah!
Je secoue la tête
Le problème c'est qu'dans les ombres on peut imaginer l'pire! C'est vot' problème à vous, les foudingues de la Croix. Le noir, le blanc... C'est pas si simple!
Je tends mon sac plein de pièces à Baptiste.
-Tu veux pas m'aider avec c'te ferraille? Trop encombrant... fais-je rajustant ma cravate et ma vareuse.
Re: Vendredi 2 août 1715 (Saint-Julien)
Je tends la main sans y penser pour soulager le vieil homme de son fardeau doré:
-Je doute que la princesse soit une grande adepte de la Croix, et c'est elle qui m'a parlé de forces obscures...
Dans l'immédiat, je ne souhaite qu'apaiser les esprits liés à... hum... ma victime, et elle pense que tu pourrais m'y aider.
je jette un coup d'oeil en coin à nos compagnons, ne souhaitant pas trop parler devant eux, mais je lâche tout de même encore:
-Et je suis prêt à en payer le prix...
Revenant à Van Aarde:
-Il me semblait que nous avions convenu de le remettre aux indigènes le temps que nous revenions avec un navire.
A voir avec eux s'ils sont disposés à nous rendre ce service. Mais vu qu'on va nous-mêmes les aider...
-Je doute que la princesse soit une grande adepte de la Croix, et c'est elle qui m'a parlé de forces obscures...
Dans l'immédiat, je ne souhaite qu'apaiser les esprits liés à... hum... ma victime, et elle pense que tu pourrais m'y aider.
je jette un coup d'oeil en coin à nos compagnons, ne souhaitant pas trop parler devant eux, mais je lâche tout de même encore:
-Et je suis prêt à en payer le prix...
Revenant à Van Aarde:
-Il me semblait que nous avions convenu de le remettre aux indigènes le temps que nous revenions avec un navire.
A voir avec eux s'ils sont disposés à nous rendre ce service. Mais vu qu'on va nous-mêmes les aider...
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